[00:00.000] 作词 : Catherine Watine
[00:01.000] 作曲 : Catherine Watine
[00:09.112]T'en souviens-tu
[00:13.252]Tu avais voulu
[00:17.922]Que l'on aille s'asseoir
[00:20.942]Face à la mer
[00:23.272]Que l'on aille s'asseoir
[00:26.542]Juste pour voir
[00:29.802]La force de la vie
[00:33.422]Nous la meEre en mémoire
[00:37.382]Pour les jours engourdis
[00:44.202]Quand je me sens transparente
[00:50.002]Parmi les gens qui m'entourent
[00:53.942]Quand mon âme s'élève sous la pente
[01:00.642]Sans le moindre détour
[01:03.522]Je partage en silence
[01:08.312]Le bruit du vent
[01:11.412]Le cri des oiseaux blancs
[01:15.542]Et la danse immobile des chardons
[01:21.522]Comme autant de mes sanglots profonds
[01:27.182]Il y a des soirs, face à la mer
[01:33.422]Je viens pour voir et puis me taire
[01:39.522]Quand viennent par milliers sous le soleil tombant
[01:47.382]Ces poignards d'acier comme autant
[01:51.982]Comme autant de jours d'avant
[01:56.572]Comme autant en emporte le temps
[02:08.762]La mélancolie berce de doux chants
[02:16.892]Mon coeur qui s'oublie aux soleils couchants
[02:29.982]La mélancolie
[02:32.482]J'ai dû m'asseoir face à la mer
[02:38.292]Face à mon âme solitaire
[02:42.822]J'ai dû m'asseoir pour mieux voir
[02:47.662]La force de la vie, me la meEre en mémoire
[02:53.302]Il y a des soirs face à la mer
[02:58.852]Je viens pour remonter mes pierres
[03:03.802]Il y a des soirs à la lumière
[03:09.302]Je viens pour voir et puis me taire
[03:19.462]La mélancolie berce de doux chants
[03:27.522]Mon coeur qui s'oublie aux soleils couchants
[03:39.922]La mélancolie
[03:42.502]Et je fais d'étranges rêves sur les grèves au soleil couchant ...
[03:55.702]Et quelques mots d'emprunt sous les embruns ...
[04:08.812]En italiques : emprunté à Paul Verlaine, et non à Léo Ferré comme on le voit souvent écrit..

作词 : Catherine Watine
作曲 : Catherine Watine
T'en souviens-tu
Tu avais voulu
Que l'on aille s'asseoir
Face à la mer
Que l'on aille s'asseoir
Juste pour voir
La force de la vie
Nous la meEre en mémoire
Pour les jours engourdis
Quand je me sens transparente
Parmi les gens qui m'entourent
Quand mon âme s'élève sous la pente
Sans le moindre détour
Je partage en silence
Le bruit du vent
Le cri des oiseaux blancs
Et la danse immobile des chardons
Comme autant de mes sanglots profonds
Il y a des soirs, face à la mer
Je viens pour voir et puis me taire
Quand viennent par milliers sous le soleil tombant
Ces poignards d'acier comme autant
Comme autant de jours d'avant
Comme autant en emporte le temps
La mélancolie berce de doux chants
Mon coeur qui s'oublie aux soleils couchants
La mélancolie
J'ai dû m'asseoir face à la mer
Face à mon âme solitaire
J'ai dû m'asseoir pour mieux voir
La force de la vie, me la meEre en mémoire
Il y a des soirs face à la mer
Je viens pour remonter mes pierres
Il y a des soirs à la lumière
Je viens pour voir et puis me taire
La mélancolie berce de doux chants
Mon coeur qui s'oublie aux soleils couchants
La mélancolie
Et je fais d'étranges rêves sur les grèves au soleil couchant ...
Et quelques mots d'emprunt sous les embruns ...
En italiques : emprunté à Paul Verlaine, et non à Léo Ferré comme on le voit souvent écrit..